Le recyclage tend à se démocratiser de plus en plus dans le secteur automobile. Il existe désormais plus de 1700 centres de recyclage agréés appelés CHVU en France. La technologie permet désormais de recycler 95% d’un véhicule mais cet objectif est rarement atteint. Comment se développe le marché du recyclage automobile en France?
De nos jours, il est inconcevable d’abandonner son véhicule dans la nature lorsque celui-ci est en fin de vie. En effet, un véhicule contient de nombreuses substances toxiques et polluantes (huile de vidange, batterie, fluide de climatisation, etc.) qu’il convient de traiter adéquatement. Quand votre véhicule est en fin de vie, vous devez faire appel à un professionnel agréé du traitement des VHU (Véhicules hors d’usage).
Le processus se fait en trois étapes : dépollution, démontage des pièces du véhicule et tri des matières. Après ces quelques étapes, la carcasse du véhicule est enfin broyée. Ce processus permet d’éviter de polluer l’environnement avec des matières toxiques et de récupérer un maximum de pièces à réutiliser. Les PRE (pièces de réemploi) représentent une grande partie de la masse totale du véhicule. Après leur récupération, elles peuvent être revendues à des prix très en deçà de ceux d’une pièce neuve. Cela représente donc une bonne affaire pour les automobilistes.
La croissance de la filière du recyclage est pour le moins impressionnante. Les centres agréés traitent désormais environ 1,5 million de véhicules hors d’usage par an. La grande majorité des véhicules hors d’usage est donc recyclée dans les règles. Le recyclage contribue non seulement à la réduction des déchets automobiles mais aussi à la lutte contre le réchauffement climatique. Les directives européennes en ce sens devraient donc continuer à encourager l’essor du recyclage des déchets automobiles en France.
Chez OuiGlass Dinan, nous sommes profondément solidaires de la cause environnementale. C’est pourquoi nous nous engageons à recycler 100% des pare-brises que nous traitons. Pour tout remplacement ou réparation de vitrage automobile, prenez rendez-vous directement sur notre site web ou par téléphone au 02 96 85 49 24.
La nécessité de réduire les émissions de carbone est de plus en plus cruciale pour les constructeurs automobiles. C’est la base même du lancement de la batterie électrique dans l’univers automobile. Toutefois la technologie électrique est loin d’être parfaite, si l’on considère le taux de CO2 généré lors de la phase de production de ses batteries. Voici comment le carburant synthétique change la donne.
Le carburant synthétique peut vous paraître être un produit polluant et néfaste pour l’environnement. Cependant c’est tout le contraire : le carburant en question est une nouvelle invention saine, neutre en carbone, capable de sauver le moteur à combustion et peu coûteuse. Cette nouvelle solution est produite en extrayant le CO2 de l’atmosphère par un procédé nommé « captage direct de l’air ».
Il est vrai que la combustion du carburant synthétique libère du CO2 dans l’atmosphère. Cependant, comme il peut être reproduit et réutilisé de manière continue, selon les experts, il peut réduire les émissions de 10 milliards de tonnes de carbone annuelles. De plus, il produit moins de particules, moins de saleté et n’engendre aucune trace de soufre.
De plus en plus de constructeurs automobiles commencent à considérer le carburant synthétique. Chez McLaren en particulier, cette alternative est une technologie en cours de développement et un prototype sera bientôt introduit selon M. Jens Ludmann, directeur d’exploitation.
Du côté de Porsche, le constructeur est plus réticent dans le sens où il est trop tôt pour déterminer si l’option est applicable. Toutefois, selon le PDG, M. Oliver Blume, l’option sera plus normalisée dans une dizaine d’années.
Le constructeur Allemand Mercedes s’est montré plus tranchant sur la question : le carburant synthétique est inadéquat pour les véhicules selon eux. Leur discours s’appuie sur le fait que la transformation de l’énergie verte en carburant engendrera pour le véhicule une grosse perte d’efficacité.
Chez OuiGlass Vénissieux, l’environnement est au centre de nos préoccupations. C’est pourquoi, nous recyclons tous les pare-brise remplacés, sans exception. Vous avez un bris de glace, un impact ou autre ? Nous sommes à votre disposition au 04 83 43 54 43.
L’industrie automobile est l’une des plus grandes causes de la pollution au monde. Néanmoins plusieurs solutions sont façonnés pour réduire les déchets automobile comme le recyclage. Cependant, le procédé du recyclage des pare-brises n’est pas aussi simple qu’on ne le pense.
La méthode de fabrication des pare-brises rend leur recyclage et transformation en d’autres produit difficile. D’abord, Il faut comprendre que les fabricants automobile façonne les pare-brises de façon à limiter les dégâts durant un impact. C’est pourquoi , le pare-brise de votre voiture est composé de deux plaques de verre liées par un film appelé polyvinyle butyral , permettant d’absorber les éclats suite à un bris de glace. Donc, le polyvinyle butyral laisse la tache du recyclage pare-brise et sa transformation en d’autres produits ardu et coûteuse, puisqu’il est très difficile de retirer ce film pour recycler. Néanmoins, le recyclage du pare-brise est complexe mais reste réalisable dans le mesure où plusieurs entreprises spécialisées dans le vitrage en France propose ce service.
Pour recycler le verre du pare-brise, il est en premier lieux placé dans un broyeur. Ensuite, le verre broyé est tamisée pour produire le calcin, qui à son tour est utilisé pour fabriquer d’autres produits de verres ou simplement de la fibre de verre. Mais, il est impossible de produire un nouveau pare-brise avec le calcin.
D’un autre côté, parmi les composantes du verre pare-brise est le sable siliceux à 70%. C’est un élément qui peut être fondu et réutilisé à l’infini. Cependant, trouver un sable siliceux de qualité vital à la fabrication du verre est de plus en plus difficile. Pour les fabricants de verre, c’est une ressource qu’il ménager le plus possible. C’est pour cela, qu’il faut opter dans la mesure du possible pour la réparation du pare-brise au lieu du remplacement de celui-ci. Ainsi, les déchets automobile seront grandement réduits et l’environnement sera mieux préservé.
Au final, il faut savoir que le recyclage du pare-brise diminue d’un quart la quantité d’énergie nécessaire demandé pour la production de produits en verre. Donc, il limite la nécessité d’user de nouvelles matières premières.