Choisir entre voiture électrique ou au gaz naturel n’est pas un choix à faire à la légère. Vous avez besoin d’une voiture et vous hésitez ? Vous désirez minimiser son impact environnemental ? L’électrique se décline en mode hybride plug-in, le diesel est en perte de vitesse et le gaz naturel espère rencontrer plus de succès que le LPG (gaz de pétrole liquéfié). Comment faire son choix parmi ces voitures qui se disent plus vertes ?
Choisir une voiture électrique ou au gaz naturel
Alimentée par une source d’énergie renouvelable, c’est la solution consommant le moins d’énergie et émettant le moins de gaz à effet de serre. En-dehors de chez soi, il est impossible de maîtriser la nature de l’électricité disponible dans les bornes de recharges. Cependant, pour que l’écobilan global de la voiture électrique soit positif, le moyen de production de l’électricité est décisif. Les émissions de CO2/km seront supérieures à celles d’une voiture thermique si l’électricité est produite au charbon.
1/ Avantages de la voiture électrique
- Un bel avenir
- Pas de polluant de l’air et pas d’émission de CO2 à l’utilisation
- Silencieuse
- Peu d’entretien
- Économique à l’utilisation
2/ Inconvénients de la voiture électrique
- L’impact de ses batteries
- On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules ainsi que pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.
- La recharge reste une contrainte
- La capacités des batteries est plus importante et peut aller jusqu’à 100 kWh ce qui conduit à plus de poids, plus d’impact à la fabrication et plus de temps pour les recharger.
- La disponibilité des bornes
- Elle coûte cher à l’achat
La voiture hydrogène
Il s’agit d’une voiture électrique alimentée par une pile à combustible. L’oxygène (O2) et l’hydrogène (H2) se combinent pour fournir de l’électricité au moteur. Le seul rejet est de l’eau (H2O).
96% de l’hydrogène est produit à partir d’énergies fossiles (gaz, pétrole ou charbon). On peut produire l’hydrogène par électrolyse de l’eau, cela demande beaucoup d’électricité. Avec une électricité bas carbone l’écobilan sera favorable. Cela n’a pas d’intérêt si c’est une électricité produite avec du charbon.
Avec le déploiement des stations de recharge, la percée des énergies renouvelables et la démocratisation de la technologie, cette solution sera probablement privilégiée un jour.
La voiture au gaz naturel
Il s’agit du même gaz que celui qui alimente nos chaudières mais comprimé.
Le GNV est le gaz naturel pour véhicules. Les émissions sont fortement réduites par rapport à un moteur diesel : -50% à -60% de NOX, -99% de particules, -7% de CO2 et -99% de SOX .
Il est possible de produire le GNV par biométhanisation, à partir de matière organique (telle que les déchets agricoles ou organiques). Dans ce cas, des bactéries dégradent la matière organique pour donner du biogaz qui, une fois purifié, devient du biométhane.
L’avantage par rapport au méthane classique d’origine fossile est que les déchets sont valorisés de façon utile et le bilan carbone est pratiquement neutre.
Pour conclure, l’empreinte écologique des voitures électriques est la meilleure. La production de la batterie est bien compensée par un fonctionnement à partir de sources renouvelables. Les voitures qui fonctionnent au gaz naturel synthétique (SNG) consomment cinq à six fois plus d’électricité que les voitures électriques.
La voiture écologique parfaite n’existe pas. On peut éventuellement parler de véhicules qui consomment peu et qui ont un moindre impact tout au long de leur cycle de vie.
Concrètement, les voitures hybrides et les voitures électriques sont les meilleures options mais sont chères à l’achat. Bien qu’elles soient plus économiques à l’usage, elles ne sont pas à la portée de toutes les bourses.
Que vous ayez une voiture électrique, hybride ou classique, le centre Ouiglass Le Havre prendra votre véhicule en charge pour tout remplacement ou réparation de pare-brise. Prenez RDV sur notre site ou consultez notre équipe via le 02 32 92 08 32.
ParOuiGlass Le Havre
439 vues Le constructeur Opel compte développer ses propres véhicules équipés de piles à combustible à hydrogène. Cela ferait de la marque de PSA la première à se lancer dans ce domaine. En effet, Opel souhaite préparer l’avenir de son offre automobile en développant des véhicules plus écologiques. Le point sur la stratégie d’Opel.
Un projet de longue date
S’appuyant sur le savoir-faire de General Motors, Opel dispose déjà d’un centre de développement Hydrogen & Fuel Cells dédié à la technologie hydrogène. Le premier modèle que la marque ambitionne de faire tourner aux piles hydrogène est l’Opel Zafira. Le développement progresse vite et les premiers tests sur route pourraient arriver dès l’an prochain. En réalité, ce n’est pas la première fois qu’Opel présente des concepts de voitures hydrogène. Le constructeur a en effet une longue expérience dans la conception de véhicules hydrogène. Son premier projet a vu la jour en 2000 avec le prototype Opel HydroGen1 basé sur la Zafira. Un prototype plus avancé nommé HydroGen3 a par la suite été produit à 20 exemplaires. Enfin, l’Opel HydroGen4 qui embarquait 4.2 kg d’hydrogène et 420 km d’autonomie a conclut les premiers balbutiements d’Opel avec la technologie hydrogène. Il s’agit donc d’un retour en force après 12 ans sur le terrain des véhicules hydrogène.
Le pari de l’hydrogène
Opel n’est pas le seul constructeur automobile à faire le pari de l’hydrogène. BMW, Toyota ou encore Renault seraient également en train de développer leur propre prototype de véhicule à hydrogène. Il faut dire que la technologie hydrogène offre beaucoup d’espoirs aux constructeurs qui sont sous pression pour limiter l’impact des véhicules sur l’environnement. Facile à recharger et bénéficiant d’une grande autonomie, la voiture à hydrogène serait-elle la technologie verte d’avenir? Il reste tout de même à régler le problème du processus de production d’hydrogène qui est encore bien trop polluant.
Chez OuiGlass Vannes, nous prenons en charge tous les véhicules, qu’ils soient essences, électriques ou même à hydrogène. Votre sécurité et celle de vos passagers doivent rester une priorité. C’est pourquoi nous nous engageons à réparer votre impact gratuitement si celui-ci ne gêne pas la vision du conducteur et s’il ne dépasse pas la taille d’une pièce de deux euros. Pour tout remplacement ou réparation de pare-brise, prenez rendez-vous via notre site web ou par téléphone au 02 90 73 57 43.
ParOuiGlass Vannes
583 vues La firme japonaise Toyota a récemment dévoilé le calendrier de sortie de la nouvelle itération de sa Toyota Mirai. Avec un design plus classique et imposant, Toyota espère séduire les consommateurs en quête de véhicules propres. Zoom sur l’une des premières voitures hydrogène commercialisée dans l’hexagone.
La Toyota Mirai II
À l’occasion du Salon Automobile de Tokyo en Novembre dernier, Toyota a révélé le design de la seconde génération de la Toyota Mirai. Pour rappel, la Toyota Mirai est la première voiture de la marque à utiliser la technologie hydrogène. Celle-ci permet une autonomie grandement accrue par rapport à un véhicule électrique et une recharge en seulement quelques minutes. Le constructeur espère séduire un plus large public grâce à ce modèle remanié en profondeur. Plus large et plus imposante, le design de la nouvelle Mirai s’avère plutôt attrayant. De plus, Toyota annonce des spécificités techniques en nette hausse avec une autonomie allongée de 150km. Cependant, tout cela devrait se répercuter sur le prix de vente qui sera sûrement plus élevé que celui de la Mirai I, pourtant déjà vendue à 78 000€ en France.
Les freins à l’achat d’une voiture hydrogène
Si la Toyota Mirai capitalise sur sa petite notoriété au Japon et aux États-Unis, il y a peu de chances qu’elle rencontre un franc succès en France. En effet, les freins à l’adoption des véhicules hydrogène restent nombreux. Tout d’abord, le nombre de bornes de recharge hydrogène reste bien trop faible (moins de 40 stations sur tout le territoire). De plus, le prix élevé du véhicule ne deviendra compétitif qu’à l’arrivée d’un hydrogène vert à très faible coût. Il y aurait aujourd’hui environ 400 véhicules légers hydrogène en circulation dans l’hexagone. Quant à la Toyota Mirai II, elle devrait être d’abord commercialisée au Japon dès fin 2020 avant d’arriver en France à la mi-2021.
Chez OuiGlass, nous prenons le plus grand soin de votre véhicule. N’oubliez pas que, quel que soit le véhicule que vous conduisez, un bris de glace est vite arrivé. Pour toute intervention, notre équipe d’experts de OuiGlass Cosne Cours-sur-Loire est à votre disposition. Prenez rendez-vous sur notre site web ou par téléphone au 03 86 27 69 91.
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605 vues Si vous n’avez jamais entendu parler d’Hopium, vous allez sûrement beaucoup en entendre parler dans les prochaines années. Ce nouveau constructeur français appartenant au groupe HMC (Hydrogen Motive Company) table sur une ascension fulgurante. Son objectif : produire un véhicule à hydrogène proposant jusqu’à 1000km d’autonomie.
Des performances de haut-niveau
Le projet est né dans la tête du pilote Olivier Lombard, ancien vainqueur des 24 heures du Mans. Déjà impliqué dans le projet GreenGT, le français de 29 ans a dévoilé Hopium Machina, un projet fou qui vise à concurrencer directement les maîtres allemands de la berline. Son autonomie surprend particulièrement : 1000km d’autonomie en un plein, soit l’équivalent d’un Paris-Perpignan avec en plus un temps de recharge de seulement 3 minutes. L’ancien pilote est convaincu par la technologie hydrogène, qui constituerait selon lui le futur de l’automobile.
Un air de Tesla
Avec cette berline française haut de gamme, Olivier Lombard semble vouloir suivre les pas de Tesla. Nombreux sont en effet les constructeurs automobiles à vouloir révolutionner le marché à la manière d’Elon Musk. Le design et les performances du bolide rappellent en effet beaucoup la Model S de Tesla. Elle se distingue toutefois sur un aspect important : elle tourne à l’énergie hydrogène contrairement aux Tesla électriques d’Elon Musk. Cela lui permet de garantir une recharge rapide tout en maintenant de superbes performances.
Il faudra encore patienter pour mettre la main sur cette berline, puisque le premier vrai prototype ne sera dévoilé qu’en juin 2021. La commercialisation quant à elle ne devrait pas débuter avant 2026, en commençant par la France avant de s’exporter aux Etats-Unis, en Chine et au Japon.
En attendant la sortie de cette voiture extraordinaire, vérifier l’état de votre pare-brise est une règle d’or qui s’applique à tous les types de voitures. En cas d’impact ou de bris de glace, prenez rapidement un rendez-vous chez nos experts de OuiGlass Pamiers ou contactez-nous directement au 05 34 02 12 48.
ParOuiGlass Pamiers
999 vues Aujourd’hui, le nombre de voitures à hydrogène en circulation est estimé à environ 20 000 véhicules dans le monde. Parmi ces véhicules, 50% sont immatriculés en Asie et 30% pour la seule Californie. Pourtant, en Europe, il reste difficile de trouver des stations-essence adaptées. Nous faisons le point sur l’incroyable croissance du marché des voitures à hydrogène.
Le marché des voitures à hydrogène
Certains constructeurs testent déjà le marché comme Mercedes avec sa GLC hydrogène ou encore Audi et son futur modèle h-tron, dont la commercialisation est prévue pour 2020. Les constructeurs français se préparent également à cette nouvelle technologie notamment Renault pour son modèle Kangoo. Bien que les ventes restent encore faibles, le marché des voitures à hydrogène devrait connaître une croissance vertigineuse dans les prochaines années.
Pourquoi la technologie hydrogène est si performante
Le principal avantage de la voiture hydrogène, c’est son excellent bilan carbone. Grâce à sa pile à combustible, le véhicule transforme l’hydrogène en électricité et n’émet que de la vapeur d’eau. C’est donc un véhicule électrique propre qui n’en possède cependant pas les défauts. En effet, une batterie à hydrogène promet une autonomie de 700 à 800km, soit autant que les véhicules à énergie thermique actuels. De plus, faire le plein ne prend que quelques minutes.
Il reste cependant un problème majeur à résoudre : seul une dizaine de pompes à hydrogène sont opérationnelles en France. En effet, le coût d’une station à hydrogène est non négligeable (entre 500 000 et 1 million d’euros). Par ailleurs, la production d’hydrogène est une tâche compliquée et gourmande en énergie puisque 96% de la production hydrogène en France provient du gaz naturel. Un gros effort reste donc à faire pour développer l’hydrogène « vert » à partir d’énergies renouvelables.
Quel que soit votre type de véhicule, il est essentiel pour vous d’empêcher les dégâts sur votre pare-brise ou toutes autres vitres de votre véhicule. OuiGlass Laon est reste à votre disposition pour toute intervention au 03 23 20 72 54 et à l’adresse 4 Rue des Minimes à Laon.
ParOuiGlass Laon
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