Alors que les voitures électriques sont encore en plein essor, les fabricants automobiles annoncent l’arrivée d’une nouvelle révolution : la voiture hydrogène.
La technologie autour du carburant hydrogène n’est pas une nouveauté. Dans les années 90, Mercedes a déjà évalué cette possibilité, mais la marque à l’étoile y a renoncé par faute de moyens.
Le véhicule électrique est un type de véhicule alimenté par de l’électricité stockée dans une batterie. Pour recharger cette batterie, l’automobiliste doit brancher son véhicule à un dispositif de recharge.
En revanche, la voiture hydrogène produit sa propre électricité grâce à une réaction chimique dans sa pile à combustible. L’électricité produite par cette pile à combustible va venir alimenter le moteur et il aura pour seule émission la vapeur d’eau. Pour ravitailler ce type de véhicule, les automobilistes peuvent se rendre auprès de stations-service spécifiques. Toutefois, l’hydrogène est confronté à diverses contraintes, allant d’une faible efficacité à des coûts élevés.
Bien que l’hydrogène soit un gaz existant à l’état naturel, dans les entrailles de la Terre, il n’est pas aussi facile à extraire que le pétrole. De même, il ne se fabrique pas aussi aisément que l’essence ou le diesel.
Pour l’instant, les producteurs n’ont pas d’autre choix que de le produire en utilisant une technique largement éprouvée, appelée le « vaporeformage ». Cette technique consiste à capter l’hydrogène contenu dans une ressource fossile, comme le méthane. Actuellement, plus de 95 % de l’hydrogène utilisé est fabriqué de cette manière.
Malheureusement, ce procédé comporte deux gros défauts. Tout d’abord, il consomme du méthane qui est un gaz naturel et une ressource terrestre non renouvelable. De plus, il est très émetteur de CO2, un gaz à effet de serre très répandu. En moyenne, pour produire un kilogramme d’hydrogène, il faut émettre près de 10 kilogrammes de CO2. Le vaporeformage constitue donc une solution peu vertueuse et en total désaccord avec la transition énergétique amorcée dans le domaine des transports.
Avec un arsenal d’atouts plutôt intéressant, la voiture hydrogène n’a malheureusement pas encore séduit la majorité des constructeurs. Outre Toyota et Hyundai, seules quelques marques osent s’aventurer sur ce terrain. Volkswagen, par la voix du président du directoire, Herbert Diess, a notamment affirmé que les véhicules à hydrogène ne constituent pas une solution efficace pour une mobilité verte.
Et pourtant, le groupe Stellantis, avec ses marques Peugeot, Citroën et Opel, s’apprête à lancer des utilitaires légers à hydrogène. Dans ces véhicules, la pile se loge sous le capot avant, au-dessus du moteur électrique de traction. Quant aux réservoirs haute-pression, ils sont logés sous le plancher. Ils prennent alors la place de la batterie.
Malgré une faible production de la voiture hydrogène, on peut tout de même noter que Toyota et Hyundai s’approprient déjà le marché. Avec la Nexo, le constructeur coréen a notamment vendu près de 11 500 exemplaires entre 2019 et 2020.
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Pour faire face aux problèmes environnementaux actuels et à la raréfaction des énergies fossiles, des alternatives ont vu le jour. La mobilité verte est aujourd’hui au cœur des débats en raison des enjeux climatiques. De plus en plus de ménages s’équipent de voitures à hydrogène, qui permettent de se déplacer de manière plus écologique, en utilisant une ressource présente en grande quantité dans la nature.
Les voitures à hydrogène font partie de la famille des voitures électriques. Ce type de véhicule est notamment équipé d’un moteur électrique couplé à une pile combustible. Cette technologie est appelée le Fuel Cell Electric Vehicle (FCVE).
Le moteur électrique est combiné à une batterie d’accumulateurs, ainsi que d’un réservoir d’hydrogène. Le moteur récupère de l’énergie lors du freinage, transformant alors l’énergie cinétique en électricité qui sera stockée dans la batterie.
Les voitures à hydrogène sont très écologiques. Lors de la conduite, ce type de véhicule n’émet que de l’eau. Plus précisément, il s’agit de vapeur d’eau qui s’échappe du port d’échappement.
Le véhicule n’émet pas de dioxyde de carbone ni de particules fines. Il constitue donc une solution idéale pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et de polluants dans le domaine du transport.
Les voitures à hydrogène sont très faciles à recharger. Faire la recharge de ce véhicule s’apparente à faire le plein d’essence dans les stations-service.
Contrairement aux voitures électriques, qui demandent plusieurs heures de charge pour faire le plein d’autonomie, le réservoir des voitures à hydrogène se remplit en quelques minutes. De plus, le réservoir a la possibilité de stocker de l’énergie physiquement.
Les piles à combustible ont une autonomie plus importante grâce au réservoir d’hydrogène.
Les modèles récents peuvent embarquer environ 6 kg de carburant, ce qui est largement suffisant pour effectuer près de 650 km. Alors qu’en moyenne, les voitures électriques dotées de batteries lithium-ion ne peuvent rouler que sur 300 km d’autonomie.
En France, on compte déjà plusieurs modèles de voitures à hydrogènes. Les marques présentent sur le territoire francophone sont : BMW, Hyundai, Honda et Mazda. Malgré un certain essor de ce type de véhicule, la demande des automobilistes reste encore très faible. Le problème réside notamment dans le manque d’infrastructure de recharge en hydrogène : seulement 150 stations hydrogènes contre plus de 25 000 bornes de recharge électrique.
De plus, faire le plein des voitures à hydrogène reste assez coûteux. En moyenne, le kilo d’hydrogène coûte entre 10 € et 12 €, qui permet de réaliser environ 100 kilomètres. Pour 500 kilomètres d’autonomie, il faudra alors compter entre 50 € et 60 €. À tout cela s’ajoute encore le prix d’achat plus onéreux des voitures à hydrogène.
En revanche, le coût d’entretien des voitures à hydrogène est moindre par rapport à celui d’une voiture diesel. Les automobilistes peuvent notamment se rapprocher d’OuiGlass Vannes afin de bénéficier des prestations les plus fiables sur le marché. Chez OuiGlass, nous effectuons : du remplacement de pare-brise, de la réparation d’impact, de la rénovation d’optique de phares, du décalaminage, etc. Pour prendre rendez-vous, il suffit d’appeler au 02 90 73 57 43 ou d’aller directement sur notre site.
Le constructeur Opel compte développer ses propres véhicules équipés de piles à combustible à hydrogène. Cela ferait de la marque de PSA la première à se lancer dans ce domaine. En effet, Opel souhaite préparer l’avenir de son offre automobile en développant des véhicules plus écologiques. Le point sur la stratégie d’Opel.
S’appuyant sur le savoir-faire de General Motors, Opel dispose déjà d’un centre de développement Hydrogen & Fuel Cells dédié à la technologie hydrogène. Le premier modèle que la marque ambitionne de faire tourner aux piles hydrogène est l’Opel Zafira. Le développement progresse vite et les premiers tests sur route pourraient arriver dès l’an prochain. En réalité, ce n’est pas la première fois qu’Opel présente des concepts de voitures hydrogène. Le constructeur a en effet une longue expérience dans la conception de véhicules hydrogène. Son premier projet a vu la jour en 2000 avec le prototype Opel HydroGen1 basé sur la Zafira. Un prototype plus avancé nommé HydroGen3 a par la suite été produit à 20 exemplaires. Enfin, l’Opel HydroGen4 qui embarquait 4.2 kg d’hydrogène et 420 km d’autonomie a conclut les premiers balbutiements d’Opel avec la technologie hydrogène. Il s’agit donc d’un retour en force après 12 ans sur le terrain des véhicules hydrogène.
Opel n’est pas le seul constructeur automobile à faire le pari de l’hydrogène. BMW, Toyota ou encore Renault seraient également en train de développer leur propre prototype de véhicule à hydrogène. Il faut dire que la technologie hydrogène offre beaucoup d’espoirs aux constructeurs qui sont sous pression pour limiter l’impact des véhicules sur l’environnement. Facile à recharger et bénéficiant d’une grande autonomie, la voiture à hydrogène serait-elle la technologie verte d’avenir? Il reste tout de même à régler le problème du processus de production d’hydrogène qui est encore bien trop polluant.
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La firme japonaise Toyota a récemment dévoilé le calendrier de sortie de la nouvelle itération de sa Toyota Mirai. Avec un design plus classique et imposant, Toyota espère séduire les consommateurs en quête de véhicules propres. Zoom sur l’une des premières voitures hydrogène commercialisée dans l’hexagone.
À l’occasion du Salon Automobile de Tokyo en Novembre dernier, Toyota a révélé le design de la seconde génération de la Toyota Mirai. Pour rappel, la Toyota Mirai est la première voiture de la marque à utiliser la technologie hydrogène. Celle-ci permet une autonomie grandement accrue par rapport à un véhicule électrique et une recharge en seulement quelques minutes. Le constructeur espère séduire un plus large public grâce à ce modèle remanié en profondeur. Plus large et plus imposante, le design de la nouvelle Mirai s’avère plutôt attrayant. De plus, Toyota annonce des spécificités techniques en nette hausse avec une autonomie allongée de 150km. Cependant, tout cela devrait se répercuter sur le prix de vente qui sera sûrement plus élevé que celui de la Mirai I, pourtant déjà vendue à 78 000€ en France.
Si la Toyota Mirai capitalise sur sa petite notoriété au Japon et aux États-Unis, il y a peu de chances qu’elle rencontre un franc succès en France. En effet, les freins à l’adoption des véhicules hydrogène restent nombreux. Tout d’abord, le nombre de bornes de recharge hydrogène reste bien trop faible (moins de 40 stations sur tout le territoire). De plus, le prix élevé du véhicule ne deviendra compétitif qu’à l’arrivée d’un hydrogène vert à très faible coût. Il y aurait aujourd’hui environ 400 véhicules légers hydrogène en circulation dans l’hexagone. Quant à la Toyota Mirai II, elle devrait être d’abord commercialisée au Japon dès fin 2020 avant d’arriver en France à la mi-2021.
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Aujourd’hui, le nombre de voitures à hydrogène en circulation est estimé à environ 20 000 véhicules dans le monde. Parmi ces véhicules, 50% sont immatriculés en Asie et 30% pour la seule Californie. Pourtant, en Europe, il reste difficile de trouver des stations-essence adaptées. Nous faisons le point sur l’incroyable croissance du marché des voitures à hydrogène.
Certains constructeurs testent déjà le marché comme Mercedes avec sa GLC hydrogène ou encore Audi et son futur modèle h-tron, dont la commercialisation est prévue pour 2020. Les constructeurs français se préparent également à cette nouvelle technologie notamment Renault pour son modèle Kangoo. Bien que les ventes restent encore faibles, le marché des voitures à hydrogène devrait connaître une croissance vertigineuse dans les prochaines années.
Le principal avantage de la voiture hydrogène, c’est son excellent bilan carbone. Grâce à sa pile à combustible, le véhicule transforme l’hydrogène en électricité et n’émet que de la vapeur d’eau. C’est donc un véhicule électrique propre qui n’en possède cependant pas les défauts. En effet, une batterie à hydrogène promet une autonomie de 700 à 800km, soit autant que les véhicules à énergie thermique actuels. De plus, faire le plein ne prend que quelques minutes.
Il reste cependant un problème majeur à résoudre : seul une dizaine de pompes à hydrogène sont opérationnelles en France. En effet, le coût d’une station à hydrogène est non négligeable (entre 500 000 et 1 million d’euros). Par ailleurs, la production d’hydrogène est une tâche compliquée et gourmande en énergie puisque 96% de la production hydrogène en France provient du gaz naturel. Un gros effort reste donc à faire pour développer l’hydrogène « vert » à partir d’énergies renouvelables.
Quel que soit votre type de véhicule, il est essentiel pour vous d’empêcher les dégâts sur votre pare-brise ou toutes autres vitres de votre véhicule. OuiGlass Laon est reste à votre disposition pour toute intervention au 03 23 20 72 54 et à l’adresse 4 Rue des Minimes à Laon.
Toyota et l’agence Japonaise d’exploration aérospatiale nommée JAXA avait annoncé leurs collaboration en 2019 pour un projet de rover qui pourrait explorer la lune. Aujourd’hui, ce projet ambitieux porte un nom, la Toyota Luner Cruiser.
En effet, le nom Toyota Lunar Cruiser s’inspire du fameux SUV Toyota Land Cruiser. Un véhicule qui s’est forgé une grande réputation pour sa puissance et flexibilité sur tous les types de terrains. Plus encore, le design de Lunar Cruiser est aussi influencé par celui de la gamme FJ de Lander Cruiser.
Bien que le SUV puisse accueillir 7 passagers à son bord, la Lunar Cruiser est conçu pour accueillir deux astronautes. Le rover dispose aussi d’une cabine fermée et pressurisée, afin que les astronautes puissent conduire sans combinaison spatiale, tout en ayant un grand espace par rapport aux rover classiques.
La Toyota Lunar Cruiser est un rover à pile combustible qui dispose d’une autonomie de 1000 kilomètres par réservoir d’hydrogène. De plus, des panneaux solaires ont été installé afin de fournir une source d’énergie supplémentaire. Toyota estime que le véhicule pourra opérer sur la lune durant une période impressionnante de 6 semaines.
Le constructeur Japonais rajoute que le choix du motopropulseur à hydrogène est un choix parfait. Puisqu’il diminue d’environ 20% du volume du rover comparé à un motopropulseur électrique. Ce qui est un aspect assez important, quand on considère que le véhicule doit aller vers la lune par fusée. Plus encore, l’eau du moteur peut être utilisée pour refroidir les autres parties du véhicule.
Aujourd’hui, Toyota a pour but de faire de la Lunar Cruiser une inspiration sur la manière dont les constructeurs automobiles peuvent étendre l’utilisation des piles à combustibles.
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Qu’est-ce qui fait qu’une vitesse de pointe de 355km/h, une accélération de 0 à 100 km/h en 2,2 secondes avec aucune émission de gaz d’échappement ? La réponse est la voiture Hyperion XP-1.
La Hyperion XP-1 est une supercar à hydrogène qui marque le premier pas de la vision du constructeur automobile américain. Notamment, celle de fournir une technologie spatiale de pointe, dont la NASA est le précurseur. Dans des domaines allant des véhicules routiers aux voyages dans l’espace. Le fondateur du constructeur automobile Hyperion, Angelo Kafantaris, appuie entre autre sur le puissant propulseur à hydrogène.
D’un autre côté, Angelo affirme aussi que le poids de la XP-1 est inférieur à 900Kg, ce qui permet un rapport puissance poids impressionnant lors de la conduite. Plus encore la supercar peut rechargée en moins de 5 minutes dans les stations. La XP1 est aujourd’hui le fruit des efforts de 10 ans de développement, de tests et de recherches dans la technologie de l’hydrogène automobile par plus de 200 ingénieurs et scientifiques.
Bien que les informations soient assez minces sur les options de la supercar, il faut noter que la voiture ne dispose pas d’un grand intérieur mais il est essentiel pour conserver l’autonomie de 1700km. Ce qui est impressionnant quand on compare avec les meilleures voitures à hydrogènes sur le marché. Notamment, la Toyota Mirai ou la Hyundai Nexo qui ne dépassent pas les 650 kilomètres.
Selon les remarques des experts automobiles, la XP-1 est dotée d’une suspension à double bras triangulaire en alliage d’aluminium ultraléger de qualité spatiale. Les ailes actives à haute densité des panneaux contribuent à l’aérodynamisme du véhicule. Le constructeur affirme par ailleurs que le véhicule sera disponible à partir de 2022.
Vérifier l’état de votre pare-brise automobile est une règle d’or qui s’applique à tous les types de voitures, sans exception. Si vous remarquez un impact ou bris de glace, vous pouvez joindre les experts du centre OuiGlass Dieppe sur le numéro 02 32 81 86 36 ou simplement via le site web.
L’univers automobile est en pleine mutation avec les préoccupations majeures de l’environnement, la fluctuation des prix du pétrole et l’avènement de la technologie électrique automobile. Le changement est aujourd’hui une réalité plus que jamais pour les constructeurs. Dans ce sens, nous explorons le fonctionnement de la voiture à hydrogène.
Tout d’abord ce que vous devez savoir c’est que la voiture à hydrogène est avant tout un véhicule électrique. Beaucoup de conducteurs et fans automobiles associent la voiture électrique à un véhicule équipé d’une batterie.
Néanmoins, le véhicule électrique est tout un segment qui inclus, les hybrides rechargeables, les hybrides classiques, les piles combustibles ainsi que les batteries électriques. Ce qui est fascinant dans la voiture à hydrogène, c’est qu’elle utilise des piles à combustibles et elle est fonctionne aussi à l’électricité.
Une voiture électrique conventionnelle tire son énergie soit, d’une batterie rechargeable ou, dans quelques cas d’un panneau solaire. Ainsi, elle n’utilise aucune réaction chimique et puise dans le courant de la batterie chargée afin de faire fonctionner le moteur automobile. Donc, aucun combustible n’est nécessaire.
D’un autre côté, la voiture à hydrogène utilise l’hydrogène gazeux sous pression dans le réservoir et une pile à combustible, afin de fusionner l’hydrogène avec l’oxygène. Cette réaction chimique produit de l’électricité qui sera envoyée directement au moteur automobile. C’est un processus tellement écologique que le tuyau d’échappement ne produit aucune substance toxique.
Finalement, l’industrie automobile électrique est entravée par deux principales préoccupations. Le temps de recharge des batteries électrique et aussi la distance parcourue par la voiture relativement courte. Les véhicules à hydrogènes n’ont aucun de ces soucis. Puisque vous pouvez faire le plein en un temps record et avoir une autonomie bien plus importante.
Peu importe le type de voiture que vous conduisez. Il est vital pour vous d’empêcher les dégâts sur votre pare-brise de s’aggraver. Les techniciens hautement qualifiés du centre OuiGlass Vannes sont à votre disposition au 02 90 73 57 43 et à l’adresse 56 Rue Marcelin Berthelot.